A bout de tige je distingue des feuilles de menthe qui ressemblent à des larmes virides et à ton centre, on peut apercevoir deux feuilles de chlorophile qui nous rappellent une moustache.Ton odeur est si forte qu' on pense que tu as une odeur éternelle.
mercredi 30 janvier 2008
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3 commentaires:
Poème plein d'intérêt! Dommage qu'il y ait une répétition à la fin (odeur...odeur)...
La menthe sa sent tres bon c'est vrai mais la le poeme me donne envie d'en manger
Stephane
bonne ideé de parler de la menthe.
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