La figue verte, belle comme le rayon du soleil La figue verte , brille comme une fille qui bronze La figue verte , pousse comme une baie enfin La figue verte , décède comme un homme.
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Dans le poème en prose "L'oeillet", Francis Ponge dégage toute la charge de mystère et d'insolite d'une fleur. Nous avons donc composé des poèmes en prose dans lesquels la fleur nous laisse entrevoir tout son mystère, notamment à travers des métaphores, des comparaisons, des personnifications (on fait d'une fleur une véritable personne).
L'OEILLET. - A bout de tige se déboutonne hors d'une olive souple de feuilles un jabot merveilleux de satin froid avec des creux d'ombre de neige viride où siège encore un peu de chlorophylle, et dont le parfum provoque à l'intérieur du nez un plaisir juste au bord de l'éternuement. (un jabot: ornement de dentelle ou de tissu léger, froncé ou plissé, fixé au plastron d'un vêtement. viride: vert. la chlorophylle: pigment vert des végétaux.)
Nous sommes les élèves de 5e 2 du collège Pierre Curie de Goussainville (année 2007/2008).
Nous avons créé ce blog car nous voulons rendre hommage à Francis Ponge en écrivant des poèmes en prose à la manière de cet artiste.
Voici nos poèmes :
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Merci
2 commentaires:
Très joli poème Sébastien... Je te félicite.
Mme TUCCINARDI
pourquoi ta po mi 2 foto ?
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